Un autre theme : Les combats.

Assit sur les nuages de l'Olympe, Angelo était en train de jeter des cailloux sur les personnes qui passaient en bas.

Tout d'un coup, la grande porte de l'Olympe s'ouvra et il vit arriver plusieurs Olympiens qui blablataient.

Il les interpella :

_Mdrlol il se passe quoi ?
_On était au conseil Olympiens ?
_Hu ? Kezako ?
_C'est l'endroit ou chacun vient raconter ses plus beaux combats de facon RP.
_Ah... bon bah moi j'vais aller xp tiens *sifflote*

Et Angelo partis tuer du kanigrou avec un monstrueux mal de tête, lié au faite qu'il essaye de comprendre ce que lui avais dit les autres Olympiens..

Vouala, mtnt faut raconter nos cbt de facons rp .

J'vous laisse commencer

Pas le plus beau mais le plus rapide pour ma part :

Un jour en me promenant je vit un iop avec un air un peu autiste

-Slu eni 1 Dfi sa te di
-Hum si cela peut te faire plaisir
j'engage
il s'enerve d'un coup
et :
j'ai loose d'un coup :/

Le soleil se levait au dessus des plaines de Pandala, ensanglanté par la par la bataille qui avait eu lieu la veille. Mace se leva difficilement et regarda en direction de l'horizon.

Perdu dans ses pensées Mace se disait : *Je n'avais pas vu de telle bataille depuis notre rué vers l'île de Grobe*

Jettant un regard autour de lui pour constater que le reste de son équipe était encore bien en vie, il tendit la main à l'un d'eux pour l'aider à se relever.

"Prend ma main Amarok, ce qui nous fût promis comme la plus grande des batailles est terminée. Plus rien ne nous résiste maintenant au sein du monde des douzes !
_Merci l'ami, dit le iop d'une voie tremblante, bien des péripéties j'ai accompli mais il faut avouer que cette dernière fut plus difficille que je ne l'imaginait.
_Et ça va les copains ? cria une petite voie derrière nos deux aventuriers."

La petite voie était celle d'Epyon, jeune eniripsa intrépide, qui essyait de les rattrapper.

"Bah tu étais pendant tout ce temps on te chercher partout. Tu as vu l'état de ce pauvre Amarok...
_Excusez moi j'étais retenu, il ne voulait pas le dire mais léni avait piqué un roupillon sous un goyavier géant.
_Maitenant que tu es là peux tu stabiliser son état ?
_Ca va être difficile mais je vais essayer."

Une certaine lumière émanait des mains du jeune éniripsa, si bien que, quelques minutes après Amarok gambadait de nouveau à travers les bambous.
L'équipe maintenant remis sur pied s'en alla en direction d'une bonne taverne quand tout à coup dans un éclair aveuglant une force mystérieuse les jetta à terre. Ils se retrouvaient maintenant sans aucune défense, épées cassées et baguette tordues, face à un ennemi inconnu.

(Hrp: comme j'avais pas top d'idées pour la suite je l'aisse le choix a quelqu'un de continuer sur ma lancée )

[HRP] Voici le texte que j'ai présenté pour l'event: Une plume pour un combat ^^[/HRP]

*S’installe confortablement, comme si elle allait se lancer dans une longue et soporifique histoire *
Hm… Un récit épique, hein ?... Un récit d’une de mes grandes aventures... au moins, j’ai l’embarras du choix ! Bon, je vais vous raconter un de mes plus grands combats, un combat pour la gloire.

En effet, je cherchais alors à rejoindre une guilde. Pas pour des compagnons d’aventures, ni l’opportunité d’en devenir un pilier. Non, rien de cela, juste pour avoir un joli blason flambant neuf sur ma tunique. On est tous passés par là, et ça n’a rien de bien épique me direz-vous, mais c’est là que, pleine de fierté, je vous réponds : « Que nenni, très cher ! »
Je disais donc, je cherchais une guilde ! Oui! Et j’ai demandé à pas mal de gens de me recruter dans la leur… Je n’ai eu, soyons francs, aucune réponse positive. Elles se ressemblaient grosso modo toutes : « blabla… Té tro 1 noob. Dgaj. » À l’époque, j’avais le don ex-tra-o-di-naire de comprendre cet ô combien étrange langage qu’est celui des Bworks. Eux semblaient le maîtriser dans toute sa splendeur. Enfin, toujours est-il que j’ai trouvé admirable leur sentiment de supériorité ! Ah ! Comme j’aurais aimé pouvoir lancer moi aussi ce regard dédaigneux ! Comme j’aurais voulu, d’un simple geste de la main, exprimer et la futilité de cette requête, et sa stupidité !
Seulement, voilà, j’étais encore plus jeune qu’à présent et peut-être un peu trop téméraire… C’est pourquoi, sans crainte et leur lançant un regard plein de défi, je sortis ma faux et fondis sur le monstre le plus proche.
Le combat commença, à peine fini le face à face et les regards hargneux, je remarquais que mes précédents interlocuteurs observaient avec attention mes faits et gestes.
*sort une chopine de son sac et l’entame sans attendre*
Je fondis sur mon ennemi, faisant de grands moulinets avec mon arme pour l’intimider, mais celui-ci, insensible à mes gesticulations - avouons-le - hasardeuses, se mouvait tranquillement, sans crainte des coups qui pleuvaient. Cependant, je pouvais lire la rage au fond de ses yeux. La bave qui coulait de sa «bouche», l’odeur nauséabonde qui assaillait mes narines, tout me répugnait chez cet être des plus étranges.
La nuit devait des tours, ou peut-être était-ce l’étrange fourrure laineuse du monstre, car j’avais beau tailler dans la masse indistincte de mon adversaire, aucuns de mes coups ne semblait l’atteindre. J’étais fatiguée : il se faisait tard et ma faux n’était pas particulièrement légère. Faire de grands moulinets avec n’arrangeait pas trop mon cas.
Soudain, le monstre noir passa à l’attaque, il fonça sur moi. Je n’avais ni le temps, ni la force de l’éviter. Même après m’avoir percuté, il ne s’arrêta pas. Continuant ainsi sur quelques dizaines de mètre, n’importe qui aurait pu en profiter pour le frapper dans son dos. Tous… Mais pas moi. Non, pas moi, de un parce que j’agonisais par terre, les jambes broyées, le visage couvert de boue et ma faux à 5 longs mètres de moi, et de deux parce que je n’avais plus de courage. Qui en aurait eu ? J’entendais les rires moqueurs des gens autour de moi résonner dans ma tête, j’étais envahie par la rage. J’avais réalisé mon impuissance, et ça me mettait hors de moi. J’avais mal, et l’arrivée du petit jour n’arrangeait rien.
J’avais perdu mon combat, perdu ma crédibilité et ma fierté : Mon ennemi n’était autre qu’un simple petit boufton d’élevage… Un petit, tout petit boufton noir. Et j’avais perdu.


J’ai bien conscience que le but de ce récit était de montrer au rat-porc Khépik combien je suis puissante, digne, snob, ‘busay, überstuffée et cætera, et cætera. Ce n’est pas vraiment le cas de mon récit, me direz-vous, et cette fois-ci, j’acquiescerais avec conviction.
Mais j’ai préféré, à un récit de guerre existentielle où la victoire n’est due qu’à un petit coup de pouce d’un dieu quelconque et qui transforme un type chanceux en un grand héros intemporel, un simple récit que personne n’avoue et a pourtant vécu.
*finit la bière qu’elle avait entamée durant son récit*

Sur ce, Bonsoir bonsoir, je m’en retourne me reposer.